Les Léséleuc

D'abord leur nom...

 

Lézéleuc? Lésérec? Le patronyme a subi des transformations. Quand le plus prestigieux des enfants de la lignée, Mgr de Lézéleuc, est encore au collège des Jésuites de Sainte-Anne-d'Auray, ses prix sont attribués au nom de Léopold de Lézérec. Une note accompagne son acte de naissance :

"Ce nom de Léséleuc a été substitué au nom de Lézérec ainsi porté à l'acte ci-contre, par erreur et suite d'altération, en vertu d'arrêt de la cour royale de Rennes du 15 février 1826. Dûment enregistré et transcrit sur les registres courants ce jour, 21 juin 1826.

Menez, adjoint."

En fait, dans les antiques registres paroissiaux de Plouescat, c'est bien sous le nom de Léséleuc que sont enregistrés les baptêmes, naissances et décès de la famille.

Puis leur maison...

Qu'ils soient Léz...éleuc ou Léz...érec (Lez signifie en breton cour, juridiction), ils sont seigneurs de Gouëlatquer, de Quistillic, de Kerpica, de Kerdané, de Kerriou, de Kerstramet. Mais avant tout de Kerouara, terre noble de Plouescat qui leur confère un droit d'enfeu et un banc dans l'ancienne église paroissiale. Les ruines du manoir de Kergouara ou Kerouara se situent à trois kilomètres au nord du bourg. Non loin du village de Saint-Edern. Les Lézéleuc y sont depuis la seconde moitié du XVIe siècle. Habitait là avant eux, en 1534, François de Kerliviri.

A Kerouara, près des ruines d'un cromlech, est visible un menhir haut de 7 m aux flancs percés de deux trous. Il abrite, dit-on, un trésor visible seulement les nuits de Noël et des Rameaux. Alors que sonnent les douze coups de minuits, vous pourrez en prendre autant que l'on peut emporter. Malheur à celui qui attend le douzième coup de minuit. En l'écrasant, le menhir reprendra son bien.

Des Lézéleuc, le généalogiste De Courcy retient:: "Déb. Réf. 1670, ress. de Lesneven, réf. et montres de 1443 à 1535, par. de Plouescat et du Ménihy, év. de Léon." Les Lézéleuc blasonnent "d'argent au chêne de sinople, le tronc chargé d'un lévrier courant de sable." Leur devise: "A deo robur", de Dieu vient la Force. On leur donne aussi "Feiz a Breiz-lez iliz". On dit aussi de leurs armoiries: "D'argent au chêne terrassé de sinople, un lévrier de sable courant brochant sur le tronc d'arbre." Ils portaient encore "écartelé en sautoir d'or à un arbre de sinople flanqué de (gerale?) à deux têtes d'oiseau (a mochin?) d'argent."

Des Lézéleuc vécurent aussi au manoir noble de Goueletquer, en Plouescat. Les textes en vieux français le décrivent comme "consistant en une maison, le surplus des édiffices en mazures, ... jardin et courtil, cour close à écuries, fossés, franchises et appartenance cerné en partie de Prat Gouelletquer, le tout de la semence de trois boisseaux audit terroir de Gouelletquer donnant sur un petit endroit du grand courtil vers la maison du côté du midy une garenne appelée garenne gouelletquer, cerné du bout vers... du chemin appelé streat an ilis et devers orient le chemin de Lesmelcher à la franchise de Goueletquer de la semence de six garcées. Audit terroir, autrement prat an guen, un petit fenier nommé Foennec Prat an guen cerné par endroit de la franchise de prat an guen contenant une journée à faucher. Au dit terroir de l'autre côté de la franchise de gouelletquer, vers orient, un parc et pièce de terre froide et la semence d'une garcée un quart cerné de la dite franchise. Au terroir de Croas les, un petit parc appelé croas les cerné de côté vers orient du chemin de la franchise de prat an guen et celle de prat lanvian de la semence de trois quarts garcée..." Paul de Leseleuc qui fait aveu en 1600 possède aussi maisons et terres aux terroirs de la Croix, meas dour, St-Heden et Gouel an Devet...

NB : La famille est proche des Kersauzon ou Kersausen, l'une des plus antiques familles de Bretagne. Elle tient sa filiation d'Angleterre et Guillaume, chevalier, seigneur de Kersauzon vivait en 1260. Au XVIe siècle, elle possède le manoir de Saint-Geoges, aujourd'hui disparu, près du moulin du même nom situé à Lanrial, à deux kilomètres à l'ouest du bourg de Plouescat. François de Kersauzon et sa femme Catherine de Kerguvelenn résident en 1650 au petit manoir de Mesguen, possédé au XVe siècle par Jehan de Penfeuntenyo et situé vers l'ouest sur la route de Kernic. Une arrière-petite-nièce du couple racontera à l'érudit Louis Le Guennec cette anecdote familiale. François et Catherine passaient pour se heurter à loisir. "Pouilloux!" assénait un jour l'épouse... à l'époux. Le noble de vieille famille défie sa femme de le redire. "Pouilloux!" insiste-t-elle. François attache sa femme à la corde du puits, la fait descendre et tend l'oreille: "Pouilloux!" Il l'immerge jusqu'à la ceinture. "Pouilloux!" Bientôt ne surnagent plus que les mains mimant le geste d'écraser la vermine. Devant cette belle opiniâtreté, François de Kersauzon hissera sa femme jusqu'à lui. Pour vivre jusqu'à la mort un bonheur sans nuages.

 

Leur lignée

 

" D'après les archives de la famille, registres paroissiaux, etc... " Aux archives départementales de Saint-Brieuc, à la cote 60J, dossier Frottier de la Messière, est conservée une généalogie établie par Constant-Jean-Marie de Léséleuc de Kerouara, juge de paix et conseiller d'arrondissement de Brest. Elle fut continuée par Albert-Louis-Marie, capitaine de cavalerie décédé en 1907, son petit-fils, et tenue à jour par la veuve de ce dernier jusqu'en 1912.

Nous la complétons ici par nos propres recherches.

I - Thomas Leselech est le plus ancien Léséleuc connu. Il est cité avec d'autres nobles du Léon dans une montre de Jean de Penhoët amiral de Bretagne, le 27 juin 1420. Cette revue militaire fut convoquée pour le recouvrement de la personne du Duc alors retenu en otage. (Référence : Dom Morice, preuve - A. II p. 10-13). Il s'agit peut être du même Thomas Lezeleuc, de Ploudalmézeau, qui fut anobli le 14 février 1436 (selon un manuscrit à la bibliothèque de Morlaix).

III - Filippe de Leseleuc, noté exempt d'impôts et passe à la première réformation de l'évêché de Léon, en 1443. Il possédait la maison de Gouelet ou Gouletquer, alors habitée par Yvon Jehan. Quatre pièces sont signés par F. Léséleuc, passe. Ce qui indiquerait qu'il fut notaire. Philippe avait peut-être une frère du nom d'Hervé. En effet, un Hervé Leselleuc, de Goueltquer, rendi aveu le 23 mai 1444 au seigneur de Penhoat.

III - Noble homme Maître Didier de Léséleuc, procureur des bourgeois de Léon (Dom Maurice, preuves, tome III page 953). Le dimanche 13 mai 1520, Guy Le Clerc, évêque de Léon, fait sa première entrée solennelle dans sa ville épiscopale. Le prélat avec une suite nombreuse arrive au faubourg de la ville et entre dans l'église Saint-Pierre où il reçoit l'hommage des nobles et puissants seigneurs et il se rend ensuite au portail de l'église, près d'une chaise à porteur et prête serment aux seigneurs qui devaient le porter de défendre les droits de l'église de Léon et il confirme les dits seigneurs dans tous leurs droits. Ce serment prêté, les seigneurs portèrent l'évêque assis en la sedia dans la chapelle Saint-Pierre, jusqu'à la porte de la ville située dans la rue Verderel, auprès de l'église Notre-Dame du Creisquer. Le chapitre et tout le clergé de Léon portant des surplis et des chapes, précédaient processionnellement au chant des cantiques et des hymnes. Comme l'évêque approchait des portes de la ville, les citoyens et habitants la fermèrent aussitôt et par l'organe du noble homme Didier de Lézéleuc, au nom des habitants de la cité, demandent au seigneur évêque qu'avant de pénétrer dans la ville il prête le serment qu'avaient coutume de prêter ses prédécesseurs en pareille circonstance et aussitôt le prélat, devant les citoyens et habitants ainsi que devant le sire de Lézéleuc, leur représentant, jura solennellement de défendre les droits de son église et de conserver les dits citoyens dans leurs anciennes liberté et franchises. " Acte de ce serment, sur les instances du Sieur de Lézéleuc, fut dressé par nous, notaires soussignants. " Immédiatement, les habitants ouvrirent leur porte et permirent l'entrée dans la cité épiscopale au seigneur évêque qui continua sa route, porté sur sa sedia, jusqu'à la porte occidentale de l'église cathédrale.

Didier Lezellec est présent à la montre de Saint-Pol en 1545. Il sera à celle de Saint-Renan en 1557.

- Didier aurait eu pour fils :

1.      Noble homme Maudez de Léseleuc ou Lezerec-Quistillic, ou encore Lezellec, noté en 1534 au titre de la noblesse du Minihy, décédé en 1537 ou 1538, manifestement sans hoirs car les enfants de son frère furent ses héritiers.

2.      Yvon de Léséleuc ou Yves de Léséleuc, qui suit.

IV- Yves de Léséleuc. Archer, écuyer puis tabellion, décédé avant le 25 mars 1538, fut représenté par François Foulleur, du Minihy de Léon, son procureur, à la montre générale de Léon tenue en 1503 à Lesneven par les sieurs du Chastel-Kermavan et de Kerouzéré, somme possesseur de fiefs militaires.

Il épouse Tiphaine Le Borgne, laquelle, étant veuve, transigea le 25 mars 1538 avec les sieurs Jehan et Filippe de Cremeur, sieurs de Keranveger et de Lanneguy. Cette dernière est d'une des familles les plus considérables du pays de Morlaix. Avec sa branche du Goëllo, elle descend des barons d'Avaugour et comtes de Goello, donc des premiers princes bretons, de certains rois de France et même au-delà. Elle tient son nom d'un chevalier qui fut, dit-on, blessé à l'œil en défendant un défilé contre les Sarrazins au tout début des croisades. Ses descendants porteront "d'azur à trois huchets d'or liés et virolés de même". Devises: "Tout ou rien", "Monstrat virtus honorem" et "Attendant mieux".

NB : Une Méance Le Borgne de Kervidou fut l'épouse de Nicolas Coëtanlem. Avec son oncle, Jean, d'origine cornouaillaise, ce marin morlaisien protégeait contre la terre entière les navires de commerce bretons. Et pillait l'ennemi à l'occasion. Surtout l'Anglais. A la demande du gouvernement breton, les Coëtanlem aidèrent même Richemont à chasser Richard III l'usurpateur. Une forte flotte britannique fondit sur eux non loin de nos côtes. Loin de fuir, les Coëtanlem repoussèrent l'escadre jusqu'à Bristol qu'ils pillèrent. Immense fut leur popularité. Richard III renversé, la paix revenue, l'oncle et le neveu s'acharnèrent sur les Castillans. Soucieux de ménager le roi d'Espagne, le Duc François II ordonna aux Coëtanlem d'indemniser leurs victimes. Ils persistèrent. Menacé de saisie, Jean se porta au service du roi du Portugal où il finit grand amiral. Gracié fut quant à lui Nicolas qui par deux fois aida Nantes contre les Français, participa à la bataille de St-Aubin du Cormier, s'impliqua dans le complot anglo-breton de 1492. Il est mort en 1518, au manoir de Penanru, en Ploujean, après avoir dirigé la construction de la fameuse Cordelière à Morlaix.

V - Noble homme Maître Didier de Léséleuc, seigneur de Kerouara en Plouescat, archer de la garnison de la ville de Saint Renan, sous le capitaine seigneur de Kersymon, le 24 août 1557 ; décédé le 14 mai 1581. C'est lui qui a acquérir de Françoise de Kerliviry la terre et le manoir de Kerouara, en Plouescat. Il épouse avant le 12 janvier 1538 Olive Clech ou Cleac'h, d'une ancienne maison noble de l'évêché de Léon.

- Il eurent entre autres enfants :

1.      Didier de Léséleuc, baptisé le 12 janvier 1538 ;

2.      Jehan de Léséleuc, seigneur de Kerdané ;

3.      Laurent de Léséleuc, qui suit.

4.      Noble Catherine de Léséleuc, décédée probablement avant le 25 mai 1604.

Elle épouse avant le 10 mai 1568 noble Didier de Kerguelen.

Ils eurent entre autres enfants :

a.      Ecuyer Jean de Kerguelen, épouse Marguerite de Kersauson

b.      Laurent de Kerguelen

c.       Didier de Kerguelen

d.      Marguerite de Kerguelen

e.       Mauricette de Kerguelen

5) Méance de Léseleuc, épouse en 1568 Morice Saïtté.

- Ils eurent entre autres enfants :

a.       Paul Saïtté

b.      Jeanne Saïtté

c.       Françoise Saïtté

d.      Olive Saïtté , épouse Pierre Guerrer, dont descend Joëlle Créach, épouse Laurent Quevilly.

e.       Didier

f.        Gillette Saïtté

VI - Laurent de Léséleuc, écuyer, seigneur (dominus temporalis de maneus), du manoir noble de Kerouara, né le 13 août 1547, devient par le décès de ses frères, héritier principal de Didier, son père. Il est convoqué aux halles de Plouescat le 6 juillet 1588 et décède vers 1614. Il a épousé avant le 22 juin 1567, noble Gillette Huon, d'une maison noble et ancienne du Léon.

NB : La famille Huon de Kerillo vient de la paroisse de Plouvorn. Son nom signifie la maison du lierre. De Courcy note: "Anc. ext. réf. 1669, huit gén. réf. et montres de 1446 à 1534. Par. du Tréhou et Plouvorn, év. de Léon." Les Huon blasonnent "de gueule à cinq croisettes, recroisettées d'argent, posées en croix." Devise: "En dra bado birviquen". Tant qu'elle durera, jamais!.. La branche aînée s'est fondue en l'Estang. Chassée par la Révolution, la famille s'en est allée en Australie et a fait souche aussi aux île Fidji. Là, les armoiries avec leurs cinq croix posées 1,3,1 sont devenues "de gueule à la croix recroisetée d'argent cantonnée de quatre croisettes recroisetées de même."

A l'origine, les Huon sont un ramage de Léon et Penhoët. Le Guennec les donne seigneurs de Herlan (Saint-Thégonnec), du Squirou (Brasparts), de Lavalot (Ploudiry), de Trohéon (Sibiril). Eon, seigneur de Trohéon, marié à Annette Chastel, fut tué à Azincourt en 1415 et avait eu Hervé, époux d'Isabelle, dame du Herlan. La branche aînée des Huon s'est fondue au XVIe dans Kerc'hoant, puis la Forest et du Parc. Elle comptait Hervé, chevalier en 1307 et Guyomarc'h, écuyer en 1378.

Ils eurent entre autres enfants :

1.      Paul, né le 22 août 1559 et mort en bas âge.

2.      Louise (Ludovica) de Léséleuc, baptisée à Plouescat le 22 juillet 1567, tenue sur les saints fonts par Yvonne Kerbiquet dame de Lesmelchen, Hervé Kersauson, noble Louise Penhoaslis, dame de Constang et Jeanne Kersauson.

3.      N... de Léséleuc, né le 22 juillet 1567.

4.      Didier de Léséleuc, qui suit.

5.      Paul, né le 21 mars 1570. Parrains: Paul de Kersauzon, Fan Chastel, Catherine Roseuc ou Kergoat. Recteur de Plouescat en 1590: "En l'an mil cinq centz quatre vingtz et dix puis l'an 1599 mourut an la parroysse de Plouezcat avecque la contagion cinq centz dix personnes. Estant recteur noble Paul Lézéleuc. Messire Alain Le Gall, subzcure de laditte parroysse de Plouezcat."

6.      Jeanne, baptisée le 27 octobre 1573. Parrainage: Guillaume de Kersauzon, Jeanne Le Princze, Gilette Castel.

 

VII - Didier de Léséleuc, écuyer, seigneur de Keriffin, Kerouara, Kerriou, Gouelletquer et Kerillec, né le 22 octobre 1568, On le baptisa à Plouescat sous le parrainage de Maudez Lambert, seigneur de Coztang, Jean Durant et Jeanne Keronnian, dame de Kerliviry, Il épouse avant le 11 mars 1592, noble Isabelle, Isabeau ou Elisabeth Le Normand , fille d'écuyer François Le Normand, décédé peut-être en 1572, vivant, seigneur de Kerriou en Ploulan, né le 2 octobre 1568, blasonnant "d'azur au rencontre de cerf d'or accompagné et cantonné de quatre molettes de même". Didier aura fourni un aveu pour Kerouara, Kerpica, Kerriou. Il décéda le 20 juin 1626 et fut inhumé dans l'église de Plouecat.

 

Désiderius, ou encore Didier eut d'Isabelle Normant dite aussi Isabeau et Elisabeth An Du :

 

1.      Françoise de Léséleuc, baptisée le 11 mars 1592, sous le parrainage de N... Kersauzon et Françoise X. En 1607, une Françoise de Léséleuc, est marraine chez Paul Roseuc, elle est dite de Kerilles. En 1627 est signalée une Francisca Léséleuc à Kernevez. Françoise épousa Louys Péan, seigneur de Coatlus et du Quistillic ; Françoise Léséleuc, dame de Coatlus, est, le 27 novembre 1646, marraine de Gabriel de Kerguvelen, fils de Jean et Jeanne de Mesnoaliet, sieur et dame de Lanrial.

 

2.      Laurent de Léséleuc, né le 1er février 1593 parrainage: Paul Léséleuc, recteur de Plouescat, N... Quilleveré. Il fut prêtre de Plouescat. Chez les Chalonny, on choisit pour parrains, en 1610, Laurent de Léséleuc, prêtre, Françoise de Léséleuc, de la Villeneuffe, Egidia de Léséleuc que l'on retrouve aussi marraine chez les Didou. En 1615, Jeanne Lézérec, de Quoletguear est marraine chez les Didou.

 

 

3.      Gilles, le 1er août 1595, parrainage: Gilles Coetquelfen, seigneur de Keravel, Marie Hezou, dame de Kerilly.

 

4.      Gilette, le 21 février 1599, parrainage: Hervé et Jeanne Kersauzon.

 

5.      Egidie (Egidia) de Léséleuc;

 

6.      Ecuyer Didier de Léséleuc, baptisé le 11 juin 1601, parrainage: Laurent Léséleuc et Jeanne Kersauzen.;

7.      Elise de Léséleuc . Elisabeth est née le 1er octobre 1604, parrainage: René du Chatel, Françoise An Castel.

 

8.      Ecuyer Paul de Léséleuc, qui suit.

 

9.      Jeanne de Léséleuc, le 5 septembre 1597, parrainage Maurice Pean, Jeanne An Castel, épouse avant le 2 octobre 1618, Louis de Goasmoal, seigneur de Kermarchou.

 

10.  Jacques, le 20 juillet 1602. Parrainage: Jacques de Tromelin, seigneur de la Flêche et Catherine Rannou.

11.  Catherine de Léséleuc, le 26 juillet 1603. Parrainage: Paul Léséleuc, prêtre, Catherine Léséleuc épouse avant le 4 février 1624 écuyer Tanguy de Coatnempren.

·        Il eurent entre autres enfants :

a.       Françoise de Coatnempren

b.      Désirée de Coatempren

c.       Catherine de Coatnempren

d.      Michelle de Coatnempren

e.       Caroline de Coatnempren

 

                    12. Isabelle de Léséleuc, épouse François de Goasmoal, seigneur de Coatanguy.

- Il eurent entre autres enfants :

Françoise de Goasmoal

 

13. Ollive de Léséleuc, le 27 février 1606, parrainage Jean Kerguvelen, N.. Kerguvelen. Elle épouse, avant octobre 1632, Jean Quillévéré, seigneur de Kerveuleugan.

- Il eurent entre autres enfants :

a.       Gabriel Quillévéré épouse Gabrielle ou Isabelle de Trogoff, fille d'Olivier de Trogoff, seigneur de Kermorant, et petite-fille de Pierre de Trogoff, seigneur de Kerlissy, Kermorant et Langle, et de Louise Tréouret.

b.      Le 14 décembre 1640 , Paul, parrains: Paul de Kerguvelen, de Kervoa et Jeanne Léséleuc, de Kermerchiou.

 

14. Claude de Léséleuc, épouse noble écuyer Thomas Le Veyer, seigneur de Kernizien.

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